viernes, 29 de octubre de 2010

Poesía Baretera, Carlos Salem en Perfopoesía 2010

Presentación de Mermorias Circulares del hombre-peonza en el Festival Perfopoesía 2010 (Sevilla) (Esta noche, viernes 29 de octubre, a las 21,30 en Tapas & Fotos, Doctor Piga, 7, Metro Lavapiés

martes, 26 de octubre de 2010

Presentación en Lavapiés del poemario "Memorias circulares del hombre-peonza"

El viernes 29 de octubre,
a las 21.30 horas en TAPAS Y FOTOS,
(Calle Doctor Piga, 7, Metro Lavapiés),

presento mi nuevo libro de poemas
"Memorias circulares del hombre-peonza"
(editorial Ya lo dijo Casimiro Parker),

que cierra la trilogía "Poemas al otro lado de la barra".

Te espero
Gracias.


jueves, 21 de octubre de 2010

Reseña de Cracovia sin ti, por Fran G. Matute






Pero sigue siendo el rey
Fran G. Matute

Nunca he sido fan de lo romántico aunque reconozco que es más fácil sucumbir a sus encantos en formato escrito que en formato audiovisual. También hay que decir que si por novela romántica entendemos Cumbres borrascosas (Emily Brönte, 1847) o El amante de Lady Chatterley (D. H. Lawrence, 1928), entonces sí que me mola. Pero lo que de verdad me impulsó a leer Cracovia sin ti no fue el género sino el autor.

Empecemos reconociendo que de Carlos Salem sí soy fan. He leído todas sus novelas, desde aquel debut esplendoroso - Camino de ida (2007) - que nos descubrió al escritor y su peculiar visión de la novela negra, pasando por Matar y guardar la ropa (2008) y Pero sigo siendo el Rey (2009), en la que incorporaba a nuestro monarca favorito como un personaje esencial de la trama. Salem, decíamos, es ya un reconocido maestro de la actual novela negra. Pero también es argentino y se le presupone labia para el amor. Así que me apetecía mucho ver qué era capaz de facturar, literariamente hablando, bajo el caparazón de una novela romántica.

(Texto íntegro en: http://criticoestado.blogspot.com/2010/10/pero-sigue-siendo-el-rey.html )

lunes, 18 de octubre de 2010

Reseña de Jean-Marc Laherrére


http://actu-du-noir.over-blog.com/article-carlos-salem-nage-sans-se-mouiller-59096710.html

Carlos Salem nage sans se mouiller.



Parmi les invités de TPS version 2010, il y avait un auteur qui avait marqué le salon 2009, l’inoubliable Carlos Salem. Coup de chance, son second roman traduit en français venait juste de sortir : Nager sans se mouiller. Après le délirant mais très cohérent Aller simple, ses lecteurs l’attendait au tournant. Mais ils n’étaient pas au bon tournant ! Loin du délire contrôlé du premier roman, ils ont droit ici à un polar pur jus, dans les règles (des règles un peu revues quand même).
Je m'appelle Juanito Perez Perez. Et je suis représentant en papier hygiénique. Quoi de plus banal ? Quoi de plus ennuyeux ? C'est l'identité que connaissent mon ex femme, et mes deux enfants. Pour l'Entreprise, je suis Numéro 3. Je prends mes ordre de Numéro 2. Et j'ai quinze morts à mon actif. Mais là, je compte bien partir en vacances avec mes deux enfants, que mon ex me laisse, exceptionnellement, pour être seule avec son nouveau Jules.



Malheureusement, Numéro 2 me confie une nouvelle mission, compatible avec les vacances prévues. Soi-disant. L'ennui est que je dois loger près de la cible. Dans un camp de nudiste. Et que la cible n'est autre que mon ex. Pour comble, sur place je tombe sur mon ami d'enfance, perdu de vue depuis bien longtemps. Trop, beaucoup trop de coïncidences …



Contrairement à ce que cet embryon de résumé pourrait laisser croire, Carlos Salem s'est assagi. Si, si ! Disons assagi par rapport à Aller simple. Si la situation de départ (et les rebondissements nombreux) sont inattendus, voire rocambolesques, le récit suit par ailleurs une trame relativement classique, parfaitement maîtrisée, et laissant peu (voire pas) de place à l'improvisation. Après tout, on suit une histoire classique dans le polar, celle du tueur aspirant à la retraite poursuivi par ses anciens employeurs.



Trame classique donc, mais revisitée par Carlos Salem. Alors on n'est pas un procédural anglo-saxon, il y a du cul (disons les choses comme elles sont), c'est souvent drôle, mais aussi très souvent émouvant, parfois profond, toujours humain. L’auteur multiplie les références : un des personnages est un vieux monsieur très classe nommé … Camilleri, le tueur, pour s’occuper, lit … Aller simple, il y a un juge dont le nom fait furieusement penser à Baltasar Garzon … Bref du Carlos Salem.



Et il y a ce tueur. Loin des psychopathes de service, loin des supermen surentraînés, c’est juste un homme qui fait son boulot. Sans passion mais sans ennui, sans émotion. Un peu comme quelqu’un qui construirait des missiles vendus au Pakistan ou qui mettrait au point des aditifs qui rendent accro à la clope ou à une boisson gazeuse … Rien de personnel, juste un boulot.



Finalement, c’est l’auteur qui parle le mieux de son roman dans les remerciements où il écrit « Tous ceux-là et beaucoup d’autres que j’oublie (pardon) m’aident à poursuivre l’écriture de ces histoires tristes qui font rire les lecteurs ». Je ne saurais mieux dire.



Carlos Salem / Nager sans se mouiller (Matar y guardar la ropa, 2008), Actes Sud (2010), traduit de l’espagnol par Danielle Schramm.

Par Jean-Marc Laherrère - Publié dans : Polars espagnols - Communauté : Le monde du polar

miércoles, 13 de octubre de 2010

"Casimiros" en Perfopoesía (Sevilla)



Junto a Isabel García Mellado, Marcus Versus, Gonzalo Escarpa y la banda de Ya lo dijo Casimiro Parker, marcho a Sevilla para tomar parte del mega festival de Perfopoesía impulsado por Cangrejo Pistolero.
El programa es alucinante, por la variedad y la calidad de las actividades. Si lo dudas, echa un vistazo al programa en el link y luego me cuentas. O mejor: ven y luego lo cuentas:

http://www.festivalperfopoesiasevilla.com/programa.html